Si politique et si peu poétique, la ministre de l’Écologie
La prose de Royal. Cliquer pour agrandir.
Si Royal se cantonne à la prose, c’est qu’elle doit consciemment éviter d’utiliser un genre plus poétique, dit « chant royal », du fait du patronyme d’un de ses usagers les plus prolifiques, CrétinGuillaume Dubois dit Crétin, poète français du XVe-XVIe s. (craint-elle la confusion des noms ?), dont on citera par exemple :
Chant royal, ou savoir divin
Imprime un nouveau doctrinal
Sans le noir brouillon infernal
Qui brouille tout de son venin (…)
Comme quoi, si elle s’y mettait, cela mettrait peut-être fin à l’image brouillée qu’elle n’a de cesse de projeter. Question prose, nous, on serait plutôt d’accord avec celle de Mandon.