Labyrinthes : Obfuscations
Plusieurs font un circuit ennuyeux de paroles, sans jamais venir au cœur de l’affaire, ils font mille tours et détours qui les lassent et lassent les autres, sans arriver jamais au centre de l’importance. Et cela vient de la confusion de leur entendement qui ne saurait se débrouiller. Ils perdent leur temps et leur patience à ce qu’il fallait laisser, et puis il ne leur en reste plus à donner à ce qu’ils ont laissé.
Baltasar Gracián (1601-1658),
L’Art de la prudence
L’Art de la prudence
Oh, un portrait de moi !
Commentaire par kliban — 10 juillet 2005 @ 11:46
Et dire que j’hésitais à le dire pour moi aussi ! ^^
Commentaire par pmco2 — 12 juillet 2005 @ 1:43