Jeu de mots, tristes maux
Je viens de lire, dans un commentaire d’un journal en ligne :
j’ai connu son fils a Celan , a Paris, il est clown , il s’est jete dans la scene
J’y lis : Il s’est jeté dans la Seine, ce que fit Celan (père). Il y a quelque chose de poétique sur cette façon de résumer les destins tragiques des clowns (et de leurs pères), de l’appel des planches à celui de la rivière.