Heureux qui, comme Ulysse…
Si la femme de César doit rester au-dessus de tout soupçon (selon Plutarque, qui écrivait en grec, il aurait dit, en fait, „ὅτι“ ἔφη „τὴν ἐμὴν ἠξίουν μηδ´ ὑπονοηθῆναι“), son mari, lui, ne doit pas mener la res publica en bateau (surtout si ce n’est pas le sien, afin d’éviter qu’on dise de lui ce qu’on reprochait à Pie X, de mener la barque de Saint Pierre à coups de gaffe, pape dont l’encyclique Gravissimo officii munere avait été rebaptisée par ses critiques Digitis in oculo, ou doigt dans l’œil) même si Caesarem legato alacrem eorum.