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« Je donne mon avis non comme bon mais comme mien. » — Michel de Montaigne

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22 novembre 2017

Poires

Classé dans : Actualité, Arts et beaux-arts, Peinture, dessin, Photographie — Miklos @ 1:48


Poires I. Cliquer pour agrandir.

 
Poires II. Cliquer pour agrandir.

 
Poires III. Cliquer pour agrandir.

 
Poires IV. Cliquer pour agrandir.

 
Poires V. Cliquer pour agrandir.

 
Poires VI. Cliquer pour agrandir.

 
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Poires VIII. Cliquer pour agrandir.

 
Poires IX. Cliquer pour agrandir.

 
Édouard Manet : Corbeille de poires. 1882.
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7 novembre 2017

Hiérogrammates alors et aujourd’hui

Le Scribe accroupi, il y a 4500 ans et aujourd’hui. © Michel Fingerhut.
Le Scribe accroupi (4e ou 5e dynastie, 2600-2350 avant J.-C., musée du Louvre) après s’être, lui aussi comme nous tous, laissé tenter par les mirages de la modernité.

«C’est le nom que les Égyptiens donnaient aux Scribes sacrés chargés de l’administration des revenus des temples. Les villes avaient des idéogrammes comme les temples. Les premiers formaient des collèges, et ils pouvaient joindre d’autres dignités à celle d’hiérogrammate. Une palette de scribe,» le kasch ou roseau taillé, un papyrus ouvert ou roulé, sont les signes auxquels on les reconnaît sur les monuments.

Ange de Saint-Priest (éd.), Encyclopédie du dix-neuvième siècle : répertoire universel des sciences, des lettres et des arts, avec la biographie de tous les hommes célèbres. 1836-1853.

«C’est aux prêtres de cet ordre qu’était réservée l’administration des choses sacrées, et l’on m’excusera peut-être de dire en passant que l’habitude de poser sa plume sur le haut de l’oreille droite n’est pas une invention du génie bureaucratique moderne : il y a trois mille ans qu’on a peint dans les monuments de Thèbes des scribes de divers ordres paperassant librement de leurs deux mains au moyen de ce secours emprunté à leurs oreilles. Le schenti était leur habillement habituel, courte tunique que l’on» a réservée vraisem­bla­blement pour l’intérieur ; la calasiris, plus longue et plus ample, couvrait le schenti.

Jacques-Joseph Champollion-Figeac, Égypte ancienne. 1839.

«Dans les marais d’Égypte, au bord du Nil, croit en abondance une plante aquatique, qui offre à peu près l’aspect d’un roseau. Sa tige, allongée, ronde, verte, lisse et molle porte à son extrémité un bouquet de feuillage grêle. C’est la plante qu’on nomme papyrus (voir le frontispice). Les Égyptiens coupaient la tige au pied ; enlevant l’écorce verte, ils trouvaient dessous plusieurs couches superposées d’une sorte d’écorce blanche, mince, fine, et qui se détachait facilement en feuillets déliés, semblables à des bandelettes légères, asses larges. On étalait sur une table ces bandelettes encore humides de sève ; on en couchait plusieurs les unes près des autres et se joignant, de manière à former une certaine largeur; puis sur ces bandelettes on en étendait d’autres en travers, pour réunir et maintenir les premières. Puis on les dressait, on les collait ; il en résultait une sorte de feuille mince, légère, assez large, blanche : une véritable feuille de papier enfin ; car c’est du nom de la plante, du papyrus, que nous est venu notre mot de papier. Sur cette mince et fragile matière, le scribe égyptien, l’écrivain ou le copiste, traçait ses caractères déliés à l’aide d’un pinceau, d’un mince et léger roseau semblable à une frêle tige de jonc, effilé à son extrémité. Avec son roseau, il avait pour instrument principal une palette de bois, une planchette de forme rectangulaire, dans laquelle étaient ordinairement creusés deux petites cavités rondes en forme de godets. L’un de ces godets contenait une tablette d’encre noire solide, l’autre une tablette semblable d’encre rouge : ces tablettes étaient absolument pareilles aux pastilles de couleurs de nos boites à couleurs pour l’aquarelle. Une petite fiole, de verre le plus souvent, contenant de l’eau, complétait son attirail. Le scribe trempait son pinceau dans l’eau, puis délayait un peu de couleur sur l’une ou sur l’autre des deux tablettes. D’autres» délayaient à l’avance leurs couleurs et les conservaient liquides dans de petits encriers, où ils trempaient leurs roseaux pour écrire.

Charles Delon, Histoire d’un livre, 7e éd. 1902.

Combien de scribes ?.
M. Josseaume, Arthmétique universelle, Ou, Le calcul développé par l’arithmétique sans le secours de l’algèbre ni des équations. Paris, 1754.

1 novembre 2017

Quelques alternatives toujours éprouvées au courrier électronique

Classé dans : Musique, Peinture, dessin, Photographie, Sciences, techniques, Société — Miklos @ 12:57


« Offrir une tournée à un facteur ne manque pas d’à-propos. » — Frédéric Dard
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Quand un facteur s’envole
S’envole, s’envole
C’est qu’il est trop léger
Alors pour voyager
Au-dessus des platanes
Il plane, il plane
Au-dessus des maisons
Il chante une chanson
Les oiseaux à la ronde
Lui font bonjour
Autant d’oiseaux au monde
Autant de lettres d’amour
Que le facteur apporte
Et glisse sous les portes
C’est le courrier du cœur
Le courrier du bonheur
C’est le courrier du cœur
Le courrier du bonheur
Joie sans pareille
Pour le facteur
Comme il fait bleu
Qu’il fait bon dans son cœur !
Il s’émerveille
Ô liberté
Joli soleil
Amour clarté !

Quand un facteur s’envole
S’envole, s’envole
Il voit le monde petit
Les gens comme des fourmis
Le clocher du village
Bien sage bien sage
L’école et la mairie
Et la gendarmerie
Sa fiancée toute rose
Dans un jardin
Comme une fleur éclose
Au milieu du chemin
Alors vite il se repose
Et cueille cette rose
Qu’il emporte avec lui
Seul dans son paradis
Qu’il emporte avec lui
Seul dans son paradis
Et c’est ainsi
Ainsi que finit
La chanson folle
Du facteur qui s’envole.

Charles Trénet

9 juillet 2017

Détails

Classé dans : Arts et beaux-arts, Peinture, dessin, Photographie — Miklos @ 21:06


Antinoüs Mondragone. Vers 130 après J.-C. Cliquer pour agrandir.


Achille chez le roi Lycomède. Vers 240 après J.-C. Cliquer pour agrandir.


Achille chez le roi Lycomède. Cliquer pour agrandir.


Giovanni Bellini : La Vierge et l’Enfant entre saint Pierre et saint Sébastien. Vers 1487.
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Domenico Ghirlandaio : Portrait d’un vieillard et d’un jeune garçon. Vers 1490.
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Carlo Braccesco : L’Annonciation. Vers 1490-1500. Cliquer pour agrandir.


Orazio Samacchini (1532-1577) : Mercure ordonne à Énée d’abandonner Didon.
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Tiziano Vecellio, dit Titien : Les Pèlerins d’Emmaüs. Vers 1530. Cliquer pour agrandir.


Véronèse : Les Noces de Cana. 1562-1563. Cliquer pour agrandir.


Louis David : Les Sabines. 1799. Cliquer pour agrandir.

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26 novembre 2016

Figurines en terre cuite grecques : masques de théâtre. Musée du Louvre.

Classé dans : Peinture, dessin, Photographie — Miklos @ 0:47


Masque tragique de jeune homme. Provenance : Utique, Tunisie. IIe s. av. J.-C.
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Masque de satyre. Provenance : Grèce. Ier s. av. J.-C. – Ier s. ap. J.-C..
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Masque de paysan. Provenance : Béotie. Fabrication : Tanagra. Début IIIe s. av. J.-C.
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Masque de courtisane ou pseudokoré (n° 39 ou 34 de la liste de Pollux). IIIe –IIe s. av. J.- C.
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Masque barbu (pornoboskos ou prostituteur). IIIe – IIe s. av. J.-C.
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