Miklos
« Je donne mon avis non comme bon mais comme mien. » — Michel de Montaigne

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26 février 2013

Boby Lapointe l’avait prédit. Et bien avant lui…

Classé dans : Actualité, Cuisine, Histoire, Musique, Santé — Miklos @ 0:00

«La dénomination exacte du saucisson de cheval était rigou­reu­sement surveillée à Paris, à la différence de la province ; beaucoup de saucissons de cheval ou d’âne entraient donc dans la capitale sous diverses appellations telles que « saucissons de Lorraine », « d’Arles », « de Bretagne », « de Strasbourg », vendus moins cher que les produits authentiques dont ils avaient usurpé le nom, et qui trouvaient facilement acheteurs, tandis que ces derniers étaient trompés sur la nature même des saucissons. Les qualités apparentes de ces produits étaient accrues par l’adjonction d’un peu de fécule et de graisse de porc au hachis de la viande, pour lui donner souplesse et élasticité. Comme la fécule pouvait absorber jusqu’à 200 fois son poids d’eau, ces saucissons, cuits à la vapeur, prenaient des proportions considérables, et « l’affaire » que croyait réussir leur acheteur contenait en fait entre 30 et 50% d’eau1.

«Découvrir la présence de viande de cheval dans le saucisson fut difficile jusqu’à l’utilisation du test à l’eau iodée : celle-ci produisait une coloration rouge violacée au contact du bouillon de viande de cheval et permettait de conclure aussitôt, sur un petit échan­tillon de la charcuterie, à la présence de cette viande dans le saucisson2. Grâce au test de l’eau iodée, on pouvait dès lors obliger les fabricants à étiqueter de manière intelligible leurs saucissons de cheval pour faire connaître leur composition (car un simple prélèvement sur le saucisson suffisait à en révéler le contenu, sans devoir le couper en deux, ce qui lui ôtait toute valeur commerciale). Désormais, le service d’inspection disposait d’un moyen de pression sur les fabricants qui se savaient contrôlables. »

Ghislaine Bouchet, Le Cheval à Paris de 1850 à 1914, pp. 242-243. Mémoires et documents de l’École des Chartes, 37. Librairie Droz, 1993.

_______
1 P.P., DA/717, doss. 11, rapport de Nocard au nom du conseil d’hygiène et de salubrité publique, 18 avril 1902).

2 Ce test fut découvert par deux Allemands, Edelmann et Brautigam : le produit à examiner (saucisson par exemple) est finement haché, additionné de 4 fois son volume d’eau et porté à ébullition pendant un quart d’heure (pour de la viande fraîche) et une demi-heure (charcuterie). Après le refroidissement, le bouillon résultant de la cuisson est filtré sur du papier mouillé au préalable afin qu’il retienne la graisse. Quelques gouttes d’eau iodée versées à la surface du bouillon font réagir celui-ci qui prend alors une coloration rouge brun violacé qui ne se produit pas avec les bouillons de bœuf, de veau, de mouton, de porc, de poulet ou de chien. La même coloration apparaît avec le bouillon de mulet (mais non avec celui d’âne). Cependant certains fabricants utilisaient l’amidon qu’ils introduisaient dans le saucisson. Au contact de l’eau iodée, l’amidon provoque une vive coloration bleue qui annihile la coloration rouge violacée. Il fallait donc éliminer l’amidon, en ajoutant au bouillon deux à trois fois son volume d’acide acétique qui précipitait l’amidon. Le liquide une fois filtré, on pouvait procéder à l’opération avec l’eau iodée. P.P., DA/717.

«Il entre furtivement dans les grandes villes, une quantité assez considérable de chair de cheval, d’âne, qui, après la barrière, est vendue sous le nom de bœuf, mouton, etc. On donne cette viande à meilleur compte que celle dont elle porte le nom pour le moment. Puisqu’il n’est pas d’observation, que les anciens peuples, le tartare d’aujourd’hui, le soldat et le bourgeois, qui mangent de ces animaux, en soient incommodés, pourquoi n’aurions-nous pas des étaux de boucheries où l’on vendrait publiquement cette viande ? Elle serait d’une grande ressource, surtout dans ces temps-ci où la chair de nos animaux ordinaires est à un prix qui ne permet guère au malheureux de s’en pourvoir. »

Mathieu Géraud, Essai sur la suppression des fosses d’aisances, et de toute espèce de voiries, sur la manière de converter en combustibles les substances qu’on y renferme, etc., Amsterdam, 1786.

21 février 2013

Life in Hell : Je chante sous la pluie

Classé dans : Actualité, Loisirs, Musique, Santé — Miklos @ 13:09

Refrain :
Je chante sous la pluie
Oui, je chante sous la pluie
Quelle charmante impression
J´adore cette sensation!
Les gros nuages noirs
Ne peuvent m´émouvoir
Car j´ai dans le cœur
Un soleil plein d´ chaleur
Par ces temps orageux
Tous les gens rentrent chez eux
Toujours et encor
Je reste tout seul dehors
Pensant à ma mie
Moi je chante sous la pluie
Oui, je chante sans bouger sous la pluie

Si je chante pourquoi? D´où vient cette gaieté?
Cet hiver, pourquoi m´ paraît-il l´été?
Plus heureux que la veille je m´ lève chaque matin
Oui, mais heureux moins que le lendemain
Si tous les jours de ma vie sont très doux
C´est que toute ma vie est toute pleine de vous.

(au refrain)

Si je suis toujours souriant et joyeux
C´est que j´ n´ai jamais que des jours heureux
Je n´ sens pas la pluie! Vraiment c´est réel
Mais avant qu´il brille je vois l´arc-en-ciel
Si, même quand je dors, mes rêves sont doux
C´est que mes rêves aussi sont tout pleins de vous.

(au refrain)

Auteur non identifié

Bon jour mal jour, Akbar s’extirpe péni­blement de dessous sa couette et se traîne jusqu’à la salle de torture sport voisine.

Il aime commencer sa journée séance par une bonne balade à vélo. Ce n’est pas gagné tous les jours, car bien souvent la moitié des bicyclettes est hors service et les autres sont occupées.

Bien qu’il pédale énergiquement lorsqu’il peut en enfourcher une, il n’arrive jamais à aller bien loin. Une pluie rafraîchissante serait la bienvenue. Mais l’eau qui tombe du plafond de la salle à travers le kleenex qui essaie d’en empêcher l’écoulement n’est pas si fraîche que cela, et arrose un autre des agrès.

Ce dernier a été déplacé pour ne pas se trouver sous le nuage percé. Mais là où il est actuellement disposé, il est inutilisable, coincé qu’il est par un de ses voisins. Et malgré sa musculature croissante, Akbar est incapable de le déplacer du fait des centaines de kilos des contrepoids dont il s’évertue parfois à soulever une partie infime. Il doit renoncer à l’utiliser sans toutefois vouloir s’avouer que c’est toujours ça de gagné.

La source de cette rosée d’une couleur loin d’être rose provient, lui a-t-on dit, des douches du vestiaire qu’il utilise et qui fuient depuis leur rénovation. Ce doit être la raison pour laquelle quatre des sept d’entre elles sont condamnées, se dit Akbar in peto. L’une des trois en fonction s’évertue de compenser le manque, en continuant à s’écouler de longues minutes après qu’on s’en soit servi, sans qu’il soit possible de l’arrêter.

Tout ça fait beaucoup d’eau par terre, elle n’a plus où s’écouler : les nappes phréatiques sont saturées, le kleenex du plafond aussi. Pour éviter les clapotis, des serviettes de toilette sales sont disposées au sol, à l’entrée des douches et près du sèche-cheveux, comme ça, quand on arrive pieds nus et mouillés dessus, on peut les essuyer sans craindre de les salir (les serviettes) encore plus.

La santé avant tout : c’est vit’halles vital, conclut Akbar philo­so­phi­quement.

Jeff et Akbar sont les personnages d’une série de bandes dessinées de Matt Groening, qui est aussi le père de la fameuse – et infâme – famille Simpson.

20 février 2013

Du lard et du cochon

Classé dans : Arts et beaux-arts, Photographie — Miklos @ 15:52


Le méfait
De l’art moyen
Me fait
Larmoyant

14 février 2013

Adieu, veau, vache… Bonjour, cochon, cheval !

Classé dans : Actualité, Cuisine, Médias, Santé — Miklos @ 20:37


Wong Herbert Yee: Hamburger Heaven. 1999

C’est l’histoire d’un petit cochon – en fait, une petite cochonne – qui travaille chez un vendeur de hamburgers dont l’affaire périclite. Pour éviter d’être licenciée et faire des économies destinées à financer la réparation de sa clarinette, elle décide de donner de sa personne et de créer un nouveau menu. Et c’est ainsi que…


“Chicago Rebels Against Filly De Mignon”. Life, 11 February 1952, p. 32.
Cliquez pour agrandir.

Comme on le voit, la viande de cheval dans les hamburgers, ce n’est pas recent. En 1952, le magazine Life rapporte avec un humour plus british que yankee (“The citizens of Chicago […] were shaken to their vitals by some news about their victuals” et autres jeux de mots) qu’une quantité importante de viande de cheval, destinée a priori à la nourriture d’animaux domestiques et de zoos et à la seule boucherie chevaline de la ville, avait abouti dans des hamburgers et des saucisses vendus comme pur bœuf. Elle ne provenait ni de Roumanie ni du Luxembourg, mais de l’usine d’un certain Joe Siciliano qui aurait payé 3.500$ – petite somme (mais importante à l’époque) – au directeur de la division de contrôle de l’alimentation pour qu’il mette la pédale douce sur ce trafic fort juteux qui rapportait à ses commanditaires des millions de dollars et faisait appel à toutes sortes de méthodes allant du graissage de pattes à la disparition d’individus et aux accidents mortels inexpliqués.


Charles L. Sanders: “Paris Scratchpad”. Jet, 19 August 1965, p. 28.

Mais en Europe ? En France ? À Paris ? Dans sa rubrique Paris Scratchpad (« Bloc-notes de Paris »), le journaliste américain Charles Sanders qui avait été posté au bureau parisien d’Ebony pendant trois ans, décrivait en 1969 les hamburgers de viande de cheval qu’on pouvait déguster dans des dizaines de petits cafés. Il rajoutait à l’intention de ses lecteurs : « À propos de la viande de cheval : quand en avez-vous mangé pour la dernière fois ? On en fait d’excellents steaks (c’est ce qu’ils prétendent) et elle est gonflée à bloc de vitamines et de trucs – c’est pourquoi je n’en veux pas. . . Pour ma part, les chevaux doivent être autorisés à garder leurs vitamines et leurs trucs pour eux-mêmes, du moins tant que je pourrai trouver des escalopes de veau, des T-bone steaks [encore autorisés à l’époque] et des côtelettes de porc. » Ce passage est précédé d’une intéressante description du mois de congés payés à la française et de son effet vidangeur sur les villes au mois d’août, dû à la générosité de notre monument national, Charles de Gaulle.


Pablo Picasso : Guernica. 1937.

À ceux qui en concluraient finalement qu’il serait peut-être temps d’éliminer la viande de leur régime alimentaire (décision qu’on ne saurait trop applaudir), on recommandera vivement d’examiner les mentions microscopiques que l’on peut trouver sur les boîtes de conserves, les crèmes, glaces et pâtisseries, et d’éviter tout ce qui comprend carmin ou cochenille, gélatine (sauf si qualifiée de végétale), graisses animales, mono- et diglycérides d’acides gras et leurs esters tartriques, produits aussi connus sous les appellations rassurantes de E120, E441, E471, E472, E479, E532 (on trouvera ici un décryptage fort utile)… Ils seront surpris de voir où on en trouve. Comme quoi, rien de tel que de faire sa propre cuisine à partir d’ingrédients non traités.

Quant aux poissons, qu’on nourrit de façon croissante avec des déchets animaux, ils ne sont ni labellisés, ni tracés…

Et quelques jours plus tard…

On ne croyait pas si bien dire. Voici ce que rapporte la presse ce matin : « Après le scandale de la viande de cheval, celui du poisson ? Sur le marché américain, la fraude apparaît massive. Une étude menée par Oceana, publiée le 21 février, révèle qu’un tiers des poissons consommés ne sont pas ce que les clients croyaient acheter. Pour évaluer l’importance des espèces communes vendues au prix d’une variété bien plus noble – une forme d’escro­querie très rémunératrice –, l’organisation non gouver­ne­mentale (ONG) amé­ricaine a fait procéder de 2010 à 2012 à l’analyse ADN de 1 215 échan­tillons collectés dans 674 magasins d’ali­men­tation et restau­rants de 21 Etats. Les résultats sont sans appel : 33 % des spécimens étudiés ne correspondent pas à l’espèce affichée et portent un étiquetage non conforme à la charte établie par l’Agence américaine des produits alimentaires et des médicaments. » (source)

5 février 2013

Quand Microsoft et Facebook s’y mettent…

Classé dans : Actualité, Langue, Littérature, Livre, Musique, Photographie, Sciences, techniques — Miklos @ 20:31


Felicja Blumental Music Center & Library. Tel-Aviv (Israel).
Cliquer pour agrandir.

Facebook fournit gracieusement à son audience internationale mondiale la traduction des messages qui seraient, autrement, de l’hébreu pour eux. Pour ce faire, le système de traduction automatique de Bing (= Microsoft) y est intégré. À en voir le résultat, on se demande si le résultat n’est pas autant de l’hébreu que la source, dans certains cas.

On a pris pour exemple les deux derniers messages du (très beau) Centre musical Felicja Blumental et de sa bibliothèque qui, du fait de sa localisation à Tel-Aviv, publie ses riches informations en hébreu sur sa page Facebook.

On a comparé cette traduction avec celle de Google Translate auxquelles on a rajouté la nôtre (au cas où les deux autres n’auraient pas suffi à nos lecteurs), intentionnellement littérale. Bilan : Microsoft peut mieux faire. On se demande ce que « vapilog » et « hhtmi » veulent dire, et pourquoi ils se mettent à parler d’une poupée de tombe et de la famille Strauss, là où on ne parlait que de Richard (pas III, celui dont on vient de trouver le corps sous un parking). De son côté, Google nous surprend avec ses millions d’euros tombés d’on ne sait quelle loterie.

Il est aussi curieux comment ces deux géants (dont la traduction est un pied d’argile) traitent les noms d’œu­vres : celle de Strauss est traduite dans son appellation française par Google (Ainsi parlait Zara­thous­tra), tandis que le « Sprach » de Microsoft est une curieuse abréviation de son titre original (Also sprach Zarathustra), et quant au film de Kubrick, c’est l’inverse. Google est le seul des deux à avoir bien identifié le nom du chef d’orchestre (Antonio) Pappano, mais l’un et l’autre se sont mêlés les pinceaux en ce qui concerne le nom de l’ensemble.

Est-ce demain que les robots nous remplaceront ? Eh bien, le résultat ne sera pas brillant.

Miklos

Google

Bing (Microsoft)

Source

L’œu­vre du com­po­si­teur Richard Strauss « Ainsi parlait Zara­thous­tra », basée sur l’œu­vre phi­lo­so­phi­que ré­vo­lu­tion­naire de Nietzsche. Cette œu­vre a été créée aux Etats-Unis il y a 116 ans aujourd’hui. L’œu­vre de Nietzsche est devenue célèbre grâce à la phrase subversive « Dieu est mort », tandis que la notoriété de l’œu­vre de Strauss est due à des causes fort dif­fé­ren­tes – la bande-son du film « 2001 – Odyssée de l’espace ».

Voici dans l’in­ter­pré­ta­tion de Dudamel la célèbre ouverture.

Travail du com­po­si­teur Richard Strauss « Ainsi parlait Zara­thous­tra », basé sur le travail phi­lo­so­phi­que – Nietzsche ré­vo­lu­tion­naire. Ce travail a été Lbkorth Etats-Unis il ya 116 ans aujourd’hui, l’œu­vre de Nietzsche est devenu célèbre pour subversive Cour «Dieu est mort» dans le travail de Strauss a été publié pour des raisons très différentes – la bande-son du film. « 2001:. A Space Odyssey »

Performances Dudamel est la célèbre ouverture.

Le travail du com­po­si­teur Richard Strauss « Sprach », basé sur son phi­lo­so­phi­que – percée de Nietzsche. Ce travail a remporté le lbchorta il y a 116 ans aujourd’hui. Les travaux de Nietzsche sont pour ins­truc­tion de hhtrni « Dieu est mort » lors de la mise en place de la famille Strauss était pour d’autres raisons tout à fait la BO du film « 2001 : un Odyssée de l’espace. »

Voici comment Dudamel ouvert.

יצירתו של המלחין ריכרד שטראוס « כה אמר זרתוסטרא », המבוססת על יצירתו הפילוסופית – מהפכנית של ניטשה. יצירה זו זכתה לבכורתה בארה »ב היום לפני 116 שנה. יצירתו של ניטשה התפרסמה בזכות המשפט החתרני « אלוהים מת » בעוד שיצירתו של שטראוס התפרסמה מסיבות אחרות לגמרי – הפסקול של הסרט « 2001: אודיסאה בחלל ».

הנה הביצוע של דודאמל לפתיחה המפורסמת.

Et maintenant, il est temps pour l’œu­vre entière.

L’œu­vre de Strauss divise le livre de Nietzsche en 8 parties (+ un prologue et un épi­logue) dont le but est de transmettre la vision du monde de Nietzsche.

Nietzsche demandait à l’homme de revoir notre système de valeurs et nos cro­yances (que ce soit dans la religion ou dans la science).

Voici les parties :

a. Introduction.

b. De ceux du monde détaché.

c. Des grandes aspi­ra­tions.

d. Des plaisirs et des instincts.

e. Chant du tombeau.

f. Le convalescent.

g. Chant de danse.

h. Chant de nuit.

i. Chant du som­nam­bule.

Voici l’excellente in­ter­pré­ta­tion sous la direction de Pappano et de l’orchestre Santa Cecilia.

Au centre de musique et à la bibliothèque vous pourrez trouver l’œu­vre interprétée par le com­po­si­teur lui-même et dans des in­ter­pré­ta­tions dif­fé­ren­tes, telles d’Ormandy, Mehta, et autres.

Maintenant il est temps pour terminer le travail.

Les travaux de Nietzsche Strauss livre département de 8 pièces (+ Prologue et Epilogue) conçus pour transférer la vision du monde de Nietzsche.

Nietzsche a demandé à la personne de revenir sur notre système de valeurs et de nos croyances (si elle la religion ou de la science).

Voici les chapitres:

A. introduction

Dans. Le monde de l’détaché

C. Le grand désir

D. Les plaisirs et passions

L’. Chanson tombe

Et. sur la science

M. récupération

Millions d’euros. Dance Song

T.. Night Song

L’. Chant de la nuit à errer

Voici un excellent conducteur de la performance Ffano et orchestre de Santa Tztz’ilih.

Music Center and Library, vous trouverez le travail effectué par le com­po­si­teur lui-même et de performance tels que Ormandy, Mehta et d’autres

Et maintenant il est temps de terminer.

Livre de Strauss, département de Nietzsche présenté ci-dessous sont des pièces (+ Prologue vapilog) pour faire avancer le monde de Nietzsche.

Nietzsche a demandé à la personne de revenir sur nos valeurs et nos croyances (qu’il s’agisse de religion ou la science).

Voici les chapitres: a. introduction b. Du monde brisé de c. D. gros avait les plaisirs de la chanson de la poupée de la tombe et oindre la science g. Danse chanson t. y. Chanson nuit itinérance de la chanson de nuit est une excellente exécution menée par Pappano et le צצ de l’orchestre de Santa’יליה .

Dans le centre de la musique et le com­po­si­teur lui-même dans la création et l’in­ter­pré­ta­tion comme Ormandy, Moreau et d’autres.

כעת הגיע הזמן ליצירה השלמה.
יצירתו של שטראוס מחלקת את ספרו של ניטשה ל8 חלקים (+ פרולוג ואפילוג) שמטרתה להעביר את תפיסת עולמו של ניטשה.
ניטשה ביקש מהאדם להתבונן מחדש על מערכת הערכים שלנו ועל האמונות שלנו (אם זה בדת או במדע).
הנה הפרקים:
א. הקדמה
ב. על בני העולם המנותק

ג. על הכיסופים הגדולים
ד. על תענוגות ויצרים
ה. שיר הקבר
ו. על המדע
ז. המחלים
ח. שיר מחול
ט. שיר לילה
י. שיר נודד הלילה

הנה ביצוע מצוין בניצוח של פפאנו ותזמורת סנטה צצ’יליה.

במרכז למוזיקה וספריה תוכלו למצוא את היצירה בביצוע המלחין עצמו וגם .בביצועים שונים כגון אורמנדי, מהטה ועוד

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