Deux mondes se croisent sans se voir, l’un s’en va, l’autre s’en vient.
On représente le présent par la concaténation d’une parcelle de passé (ω) et d’une parcelle de futur (α) ; comme le temps est orienté de ce qui s’en vient à ce qui s’en va, le passé construit à partir du futur (sur α) ou qui emporte la partie future du présent, premier en langue, est dit « parfait » en ce qu’il connaît toutes les époques.
Revue des langues romanes, vol. 80, n° 1-2. Société pour l’étude des langues romanes, Montpellier, 1973.
Jubilatoire…biz, kishn oy aza shand
Commentaire par betsabe — 28 avril 2011 @ 11:56