Un jour tu verras
On se rencontrera
Quelque part, n’importe où
Guidés par le hasard
Nous nous regarderons
Et nous nous sourirons
Et la main dans la main
Par les rues nous irons
Le temps passe si vite
Le soir cachera bien
Nos cœurs, ces deux voleurs
Qui gardent leurs bonheurs
Puis nous arriverons
Sur une place grise
Où les pavés seront doux
A nos âmes grises
Il y aura un bal
Très pauvre et tres banal
Sous un ciel plein de brume
Et de mélancolie
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Un aveugle jouera
De l’orgue de barbarie
Cet air pour nous sera
Le plus beau, le plus joli
Puis je t’inviterai
Ta taille je prendrai
Nous danserons tranquille
Loin des gens de la ville
Nous danserons l’amour
Les yeux au fond des yeux
Vers une fin du monde
Vers une nuit profonde
Un jour tu verras
On se rencontrera
Quelque part, n’importe où
Guidés par le hasard
Nous nous regarderons
Et nous nous sourirons
Et la main dans la main
Par les rues nous irons
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J’ai dû téléphoner à ma mère pour me souvenir de la musiqe. Et tout à coup ce fut toute mon enfance qui m’est revenue. Merci
Commentaire par noctis — 9 mars 2005 @ 12:07
C’est ce que je me disais ce soir en traversant le Rhône, en croisant tous ces gens. Il faisait nuit, je ne l’ai pas vu, ce sera pour une autre fois.
Commentaire par jahovil — 10 mars 2005 @ 23:08