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⇒ 300 gr de sucre
⇒ 37,5 cl d’huile
⇒ 4 œufs
⇒ 350 g. de farine
⇒ 1 cuil. a thé de sel
⇒ 2 cuil. à thé de bicarbo-nate de soude
⇒ 2 cuil. à thé de cannelle
⇒ option : 1 cuil. à thé de noix de muscade moulue
⇒ 400 g. de carottes
⇒ 150 g. de cerneaux de noix concassés
⇒ 150 g. de raisins sec voire de canneberges ou d’écorces d’orange confites
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Préchauffer le four à 5 (180°).
Réhumidifier les raisins secs ou les canneberges en les laissant tremper dans du thé ou de l’eau pendant ½ h ou en les réchauffant sur le feu jusqu’à l’ébullition.
Beurrer et fariner un grand moule (ou deux petits).
Râper les carottes (grille moyenne) et mettre de côté.
Mélanger les ingrédients secs (farine, sel, bicarbonate, cannelle).
Battre ensemble le sucre, l’huile et les œufs pendant 2 mn. Rajouter les ingrédients secs et continuer à battre 1 mn.
Incorporer les carottes ainsi que les noix hachées grossièrement et/ou les raisins (ou les canneberges).
Répartir dans le(s) moule(s) et faire cuire environ 1h. Vérifier la cuisson avec une brochette.
Démouler quand le gâteau est refroidi.
Se conserve dans une boîte fermée (comme un cake).
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Il est de tradition de fourrer et de glacer ce gâteau en intercalant une ou plusieurs couches de cream cheese frosting, mélange fait à base d’un fromage crème typiquement américain, comme le Philadelphia Cream Cheese que l’on trouve dorénavant en grande surface (sinon, le Saint-Moret fera l’affaire).
En voici une recette (pour ma part, je préfère ce gâteau tel quel, ou avec un glaçage à base de sucre-glace et de Cointreau, et si glacé en surface, décoré de mini carottes en pâte d’amande) :
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⇒ 240 g de cream cheese
⇒ 60 g de beurre
⇒ 2 cuil. à thé de vanille
⇒ 450 g de sucre glace
⇒ jus d’un citron juteux
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Battre le fromage et le beurre et ajouter la vanille.
Incorporer le sucre sans grumeaux en continuant à battre, puis le jus de citron.
Avec cette recette, on obtient une quantité suffisante pour le glaçage de deux gâteaux ronds qu’on superposera.
Diminuer les quantités de moitié pour un seul gros gâteau.
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(Source : Constance Borde et Sheila Malovany-Chevallier, 300 recettes de cuisine américaine. Éd. Jacques Grancher.)
miam schluurp. Mais ça ne doit pas correspondre à la photo car tu ne parles pas des différentes couches. Enfin, je retiens!
Commentaire par ronans — 6 mars 2005 @ 22:01
Mais si, mais si. J’ai omis la partie de la recette qui dit de faire des couches et avec quoi, et pour ma part, je ne rajoute rien (ou alors un glaçage, parfois). C’est une recette qui fonctionne très bien (pas sur le plan calorique, toutefois). Je rajouterai une mention, tiens…
Commentaire par miklos — 7 mars 2005 @ 0:18
http://...
C’est la célébrité….
Commentaire par _mercutio_ — 7 mars 2005 @ 0:25
Pour ceux qui recherchent l’origine et le lieu de Trafalmadore, lire "Abattoir 5" de Kurt Vonnegut (http://...), roman tout à fait exceptionnel, comme d’ailleurs "Johnny s’en va-t-en guerre", de Dalton Trumbo. Tous deux profondément anti-"guerre", ils décrivent des destins imaginés et inoubliables.
Commentaire par miklos — 7 mars 2005 @ 0:40
.. et qui ont donné, tous les deux, lieu à un film. Si celui sur Abattoir 5 (http://...) est fidèle au roman éponyme, le film Johnny s’en va-t-en guerre (http://...), quand bien même très bien fait, ne peut rendre l’intensité extraordinaire du livre, qui se passe principalement dans la tête du personnage principale (et pour cause…).
Commentaire par miklos — 7 mars 2005 @ 0:55
Bravo pour la rubrique gâteaux, je crois bien que ça va m’être utile! En plus les carottes, j’adore.
Commentaire par hugoindigo — 7 mars 2005 @ 1:16
On peut avantageusement replacer le Philadelphia Cream Cheese par du Saint Môret. J’ai essayé, c’est très réussi.
Commentaire par Miklos — 5 mars 2009 @ 12:22
[...] la recette dans mon blog… Au lieu d’en faire un grand gâteau, j’ai mis l’appareil dans des moules [...]
Ping par Miklos » Au menu hier soir (extraits) — 6 octobre 2013 @ 15:59