Miklos
« Je donne mon avis non comme bon mais comme mien. » — Michel de Montaigne

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6 octobre 2018

Life in Hell : Et la SNCF ? Oui, elle aussi !

Classé dans : Actualité, Progrès, Sciences, techniques, Société — Miklos @ 15:15

Le 22 octobre 1895 à la gare de Paris-Montparnasse.
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Akbar aurait dû s’en douter, ce n’est pas la première fois que la SNCF s’en prend à lui

Giulietta et Romeo, ses chers amis italiens, lui font une proposition irrésistible : visiter l’exposition Mantegna and Bellini à la National Gallery à Londres. Akbar adore Bellini, non pas tant pour ses atmospheric, natural landscapes que vante le musée (pas étonnant, se dit-il, vu le goût des Anglais pour les paysages), mais pour les yeux et les regards des personnages qu’ils dépeints : si lumineux et profonds en même temps, il y est attiré, il s’y sent aspiré, il en perdrait la mémoire. Comment alors ne pas accepter, même s’il se demande s’il lui faudra un visa pour franchir la frontière européenne qui séparera les deux continents.

Le trio finit par s’entendre sur une date, et décide de se rencontrer ce matin-là à l’arrivée de leurs Eurostars respectifs. Akbar se rend sur le site idoine à commander le billet aller-retour. Il s’y connecte à son compte, trouve des horaires et des prix satisfaisants – il devra tout de même se lever à 5h du matin pour le prendre à l’aller – et s’apprête à payer.

Mais voilà que le site l’informe que sa tranche d’âge affichée ne correspond pas à sa date de naissance elle aussi affichée… ce qui est le cas :

Là où ça coince… Cliquer pour agrandir.

Akbar se félicite tout de même qu’ils l’aient rajeuni de 10 ans mais trouve tout à fait incompréhensible cette dissonance arithmétique : c’est le site qui calcule cette tranche en fonction de la date de naissance, pourtant correctement renseignée. En sus, le site lui demande de corriger cette tranche pour continuer sa commande, mais il n’y a aucun moyen pour ce faire.

En désespoir de cause, il appelle le support téléphonique, et oh ! miracle, une personne lui répond rapidement, aimablement et efficacement : elle lui conseille de repartir à zéro avec sa commande sans se connecter à son compte et d’indiquer là où on le lui demande sa tranche d’âge (sans se rajeunir, soupire Akbar). Et oh ! second miracle, tout se termine bien. Pour une fois, resoupire Akbar.

Ci vediamo, Giovanni et Andrea !

Jeff et Akbar sont les personnages d’une série de bandes dessinées de Matt Groening, qui est aussi le père de la fameuse – et infâme – famille Simpson.

Life in Hell : Et la RATP ? Je vous hais aussi, pardi.

Classé dans : Actualité, Peinture, dessin, Société — Miklos @ 1:03

Foin du bus. Cliquer pour agrandir.

Akbar doit se rendre à l’autre bout de Paris, au fin fond du XVIe arrondissement. Le moyen de transport le plus efficace, question distance, est le bus 72. Akbar préfère d’ailleurs le bus au métro : cela lui permet de voir le paysage, et il a constaté que, sauf de très rares exceptions, les conducteurs (ou machinistes-receveurs, comme ils sont officiellement appelés) sont prudents et attentionnés envers les passagers et la circulation autour d’eux. Et il a un faible pour le 72 : c’est la ligne qu’il prenait pour aller à l’école (je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, fredonne-t-il mélancoliquement). Allons-y, se dit-il.

Aller

Il se rend donc au début de la ligne, à Hôtel de Ville. Le bus s’y trouve, portes ouvertes. Akbar y entre et s’installe après avoir consulté l’affichage de l’heure du départ : dans 2m10s, précisément. Par la fenêtre, il voit le conducteur bavarder sur le trottoir avec un collègue, tout en fumant une cigarette.

L’heure de départ arrive : un message l’annonce d’une voix suave. Le conducteur continue imperturbablement à cloper. Quelques minutes plus tard, il écrase le mégot, grimpe dans la voiture et s’installe au volant. Mais ce n’est pas encore le départ : son inter­lo­cuteur l’a suivi et ils échangent encore quelques mots. Le bus se met finalement en marche.

La circulation, rue de Rivoli, étant assez chargée, le conducteur klaxonne à tout bout de champ en utilisant la tonitruante corne de bus (qui délivre 105 décibels, comme Akbar vient de l’apprendre), alors qu’il pourrait – comme la plupart de ses collègues le font – donner un léger coup de gong. Pire : une voiture étrangère hésitant quelque peu place de Rivoli, le conducteur s’écrier Putaaaaaaaaaaain ! tout en donnant de la corne. Akbar se dit que ce n’est que lui et les autres voyageurs qui peuvent entendre cette exclamation, et si le malheureux conducteur de la voiture incriminée l’avait ouïe, il ne l’aurait sans doute pas comprise.

Un couple âgé et étranger monte. L’homme tend un billet au conducteur. Celui-ci lui lance impatiemment : « Vous voulez un ticket ? Deux tickets ? Trois tickets ? ». L’homme s’excuse et répond au mieux qu’il peut en français qu’il en veut deux, ce qui était évident pour Akbar sans qu’il n’ait suivi de formation de conducteur d’autobus ; il se dit que c’est peut-être du fait que le dit conducteur en veut aux étrangers… Mais non : il ne répond quasiment jamais ou alors par un grommellement indistinct aux passagers qui le saluent en entrant dans le bus.

Plus tard, place de l’Alma, le bus s’arrête à un feu rouge peu après la station qu’il venait de quitter. Une dame « d’un certain âge » comme on dit s’approche de la porte et demande au conducteur, d’un geste de la main, de bien vouloir la laisser entrer. Ce qu’il fait… puis il commence alors à l’engueuler violemment la tancer vertement de l’avoir ainsi sollicité : tout le monde fait ça, ça retarde le bus (et sa clope, alors, ça ne le retarde pas ? se demande Akbar in peto) ! À se demander pourquoi il l’a laissé monter, s’étonne Akbar silen­cieusement. La dame s’excuse, ce qui n’empêche pas le conducteur de continuer à déverser ses récriminations.

C’est sans doute pour rattraper ce retard que le conducteur décide de griller un feu rouge avenue de Versailles, feu devenu rouge avant que le bus ne s’engage – à une vitesse bien inférieure que celle de la lumière, constate Akbar – sur le passage clouté qu’il protégeait.

Arrivé à destination sans autre incident majeur, Akbar s’échappe de l’autobus.

Retour

Le 72 qu’Akbar prend pour revenir est assez bondé. Le trajet semble se passer normalement. Mais soudain, arrivé place de la Concorde, alors que le bus aurait dû s’engager quai des Tuileries, voilà qu’il tourne à gauche et s’engage dans la place, direction Madeleine dirait-on. Tout le monde est étonné, d’autant plus qu’aucune annonce n’est faite. Akbar aperçoit le conducteur tenant le volant d’une main et un téléphone de l’autre.

La place étant noire de véhicules, la progression du 72 est lente. Il arrive finalement à la hauteur de la rue de Rivoli, et tourne à gauche – ouf ! Il ne va pas à Madeleine, c’est déjà ça, murmure Akbar à l’oreille d’une passagère outrée par le changement de parcours et ce voyage vers l’inconnu –, passe devant l’hôtel de Crillon, puis tourne à nouveau à gauche, comme s’il repartait vers sa direction d’origine… Mais il s’arrête le long du jardin où se trouve l’Espace Cardin et ouvre ses portes. Toujours aucune information. Akbar se dit que le conducteur ne doit pas être muet, puisqu’il utilise un téléphone, il lui dit donc en sortant – comme d’autres le feront après lui – qu’une annonce aurait été la bienvenue. Mais ces paroles tombent dans l’oreille d’un sourd (enfin, pas quand il utilise son téléphone, il est peut-être équipé d’un audiophone, se dit Akbar).

Il se rend à la plus proche bouche de métro. C’est celle qui se trouve devant l’hôtel de Crillon. En y descendant, il se demande pourquoi le bus ne s’est pas arrêté là, d’évidence c’était le seul moyen de transport qui permettrait à tous les passagers de continuer leur trajet dans la bonne direction… Sans doute ce conducteur-ci ne se préoccupait pas le moindre du monde de ses passagers, occupé qu’il était par son interlocuteur (ou -trice ?) téléphonique, suppute Akbar.

Bref, se dit Akbar, raté, RATP…

Jeff et Akbar sont les personnages d’une série de bandes dessinées de Matt Groening, qui est aussi le père de la fameuse – et infâme – famille Simpson.

5 octobre 2018

Life in Hell : SNCF et la Poste, je vous hais aussi

Classé dans : Actualité, Sciences, techniques, Société, Économie — Miklos @ 9:31

Les messages indus de la SNCF et de la Poste. Cliquer pour agrandir.

La SNCF

Hier matin, Akbar reçoit un SMS de la SNCF lui annonçant que le train vers NANTES (majuscules de la SNCF) a 30 minutes de retard. Il est interloqué : pas du retard – c’est trop commun chez eux mais du fait qu’il n’avait pas prévu de s’y rendre, d’autant plus qu’il pleut sur Nantes (sans majuscules) et qu’il n’a vraiment pas envie d’avoir le cœur chagrin à cause de son ciel blafard, il préfère celui de Paris.

Craignant que son compte SNCF n’ait été piraté, il s’y connecte afin de voir si quelqu’un en aurait abusé afin de se rendre 25 rue de la grange-aux-loups. Que nenni. Il décide donc d’ignorer le message.

Mais voilà qu’une trentaine de minutes plus tard, un nouvel SMS très attentionné l’informe que le retard n’est plus que de 20 minutes. Sentant la moutarde (pas celle de Dijon qu’il aime bien) lui monter au nez, Akbar envoie un message bien senti à la SNCF via son site, se disant in peto qu’il serait étonné si une quelconque réponse lui parviendrait en moins d’un mois, délais qu’a subi sa précédente réclamation.

Jamais deux sans trois (et ce n’est pas une réclame pour la célèbre Peugeot – Akbar se disant en passant que ce serait amusant d’aller à Nantes via cette belle voiture!), un nouvel SMS arrive 1h45 plus tard l’informant que le retard dudit petit tortillard têtu, comme l’appelait Maurice Fombeure, est remonté à 30 minutes. Akbar se demande maintenant quelle tuile tombera sur The Little Engine That Could.

Françoise Le Bouar : « Des histoires de locomotives », in Strenæ 2, 2011.
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La Poste

Toujours hier, Akbar reçoit un mail de la Poste lui annonçant que, n’ayant pu lui remettre un colis une semaine plus tôt, le 28 septembre, elle se représentera le lendemain.

Interloqué, il se demande pourquoi ce message ne lui arrive que maintenant et d’ailleurs il ne voit pas laquelle de ses récentes commandes en ligne elle concerne.

N’étant pas disponible pour une livraison ce matin, Akbar clique sur les liens qu’indique le message : en vain, ils atterrissent sur des pages qui l’informent qu’il est trop tard pour changer le créneau de livraison. Il en est encore plus interloqué, il a cliqué moins de 20 minutes après la réception dudit message.

Finalement, il se rappelle qu’il a été livré le 29 septembre d’un colis et en conclut que ce message de la Poste n’a que 7 jours de retard : il aurait dû le recevoir le 28, après la première tentative de livraison… Tout de même, se dit Akbar, Internet est plus rapide qu’à ses débuts, où un mail pouvait prendre plusieurs jours pour arriver à destination. Ou peut-être la Poste utilise-t-elle encore le cheval ?

Jeff et Akbar sont les personnages d’une série de bandes dessinées de Matt Groening, qui est aussi le père de la fameuse – et infâme – famille Simpson.

4 octobre 2018

Life in Hell : Banques, je vous hais (suite)

Banques, je vous hais ! Cliquer pour agrandir.

Akbar en a assez de ses démêlés avec sa banque, Haches Baissées. Il a donc décidé de migrer l’essentiel de son compte (et surtout : de ses débiteurs – taxes et impôts, assurances, syndic, gaz, électricité, internet, téléphone… et il en passe) vers AfterBank, banque toute numé­rique.

Chez AfterBank

Le passage s’effectue sans grandes douleurs, mais rapidement Akbar s’aperçoit que la carte Visa Premier de sa nouvelle banque a des ratées : certains des paiements en ligne qu’il effectue par son entre­mise sont rejetés, d’autres non, et le paiement par contact cesse de fonc­tionner (c’est énervant, ça, mais pas dramatique, au moins comme ça on ne pourra pas la pirater à distance, se dit Akbar in peto). Le service client (non entièrement numérique, lui) lui dit de réini­tialiser la carte, ce qu’il fait. Sans succès.

Chez Trésoreo

Sur les recommandations de Jeff qui l’encourage vivement à ne pas garder son épargne dans un livret mais dans une assurance-vie, Akbar en ouvre une chez Trésoreo, autre banque toute numérique : il remplit les formulaires adéquats et les dépose en ligne. Puis il attend. Au bout de quelques jours, il essaie de joindre le support pour demander ce qu’il en est. On ne peut le faire en ligne, et le numéro de téléphone indiqué pour ce faire est loin d’être gratuit. Après avoir appuyé sur quelques dizaines de touches pour répondre au robot qui veut le diriger sur le bon interlocuteur, il s’entend répondre qu’il y a un problème informatique, et que sa demande en ligne est peut être perdue, qu’il l’envoie par courrier papier s’il n’a pas de réponse la semaine suivante… Tentant de contrôler ses pressions systolique et diastolique, Akbar se dit qu’il attendra. Et finalement, une lettre lui parvient avec les informations pour se connecter à son nouveau compte.

Il lui faut maintenant alimenter cette nouvelle assurance-vie. Le site de Trésoreo propose une page pour ce faire, intitulée « Effectuer un versement sur votre contrat d’assurance-vie », mais le contenu de cette page annonce… « Veuillez nous excuser pour cette anomalie survenue lors du traitement de votre demande. Pour accéder à la page d’accueil de Trésoreo cliquer ici. » Une fois, deux fois, le matin, le soir… pas de changement.

Toujours contrôlant ses pressions, Akbar essaie de joindre le support client (même topo que ci-dessus, Akbar vous passe les détails) et s’entend répondre qu’il y a un (autre) problème informatique qui sera résolu la semaine prochaine. Entre temps, il peut virer de l’argent à partir d’une autre banque vers le compte courant qui « accompagne » le compte assurance-vie, puis remplir un formulaire (papier) qui demande à la banque de virer la somme arrivée sur le compte courant vers l’assurance-vie (vous suivez ? Plus compliqué tu meurs, grommelle Akbar).

Chez AfterBank

Pour effectuer le virement en question, Akbar retourne vers son compte en ligne AfterBank. Il doit d’abord rajouter le compte courant Trésoreo à la liste de ses bénéficiaires (de virements ! de rien d’autre, hein ?) : il renseigne l’IBAN, et arrive sur la page qui lui annonce qu’un code de confirmation lui sera envoyé par SMS. Il clique « OK », et alors… et alors s’affiche « Le service d’envoi SMS est momentanément indisponible, merci de réessayer ulté­rieu­rement »…

Calmement, Akbar essaie de joindre le support téléphonique. Après 4 minutes d’attente, un robot fort aimable lui annonce que « Tous nos agents sont occupés. Souhaitez-vous être rappelé ? ». Akbar opine, et choisit, parmi les créneaux, celui de 9h-12h et se rend disponible pour répondre à l’appel. Qui ne vient pas. . . À 13h30, Akbar rappelle, et tombe finalement sur un « conseiller » qui, à sa question concernant le non-rappel, lui dit qu’ils sont en sous-effectifs (ce n’est pourtant pas un organisme public, s’exclame Akbar silencieusement), et lui conseille de faire la demande d’ouverture dudit bénéficiaire par mail, ce qui sera plus rapide que via le site, même quand celui-ci refonc­tionnera.

Dont acte : Akbar remplit un n-ième formulaire, l’envoie… Et attend toujours ce rajout, plus de 36 heures plus tard. Le lendemain, il rappellera le support téléphonique ; après avoir tapé sur 19 touches du téléphone, il aurait dû tomber soit sur un conseiller (cela tient du miracle) soit sur le robot annonçant qu’ils sont tous occupés : que nenni, ce robot doit l’être aussi, Akbar n’entend qu’une musique de fond répétitive. Au bout de plusieurs minutes il raccroche.

Chez Haches Baissées

Le nouveau conseiller de la banque d’origine d’Akbar (nouveau, parce que le précédent en était parti sans qu’Akbar n’en soit informé) souhaite rencontrer Akbar. Officiellement : pour se présenter, faire connaissance (Akbar se demande s’il doit lui faire part de ses hobbies, et si c’est le cas, il lui demandera les siens). Mais Akbar suspecte aussi que c’est parce que le dit conseiller a dû s’apercevoir que le compte d’Akbar est devenu quasi inactif depuis les déboires de juillet : pas de virements, pas de prélèvements, pas de dépenses…

Lors de ce rendez-vous où Akbar évite de ressasser les griefs qu’il a contre cette banque, le conseiller évoque une assurance-vie qu’Akbar détient depuis des années chez Admirali par l’intermédiaire de Haches Baissées. Il (le conseiller) lui demande d’obtenir les détails du contrat, lui-même n’ayant aucune information sur ce contrat ni de moyens d’en avoir, bien qu’il représente Admirali auprès d’Akbar…

Chez Admirali

Après ce rendez-vous, Akbar cherche à se connecter sur le site de l’assureur, ce qu’il n’avait jamais fait auparavant. En cherchant sur l’internet ce site, il en trouve un qui est dysfonctionnel (« Un problème est survenu : Le code apporteur de cette boutique n’est pas renseigné, aucun client ne peut être ajouté. ») ; puis un autre, qui ne le laisse pas créer un compte en ligne parce qu’il ne reconnaît pas son numéro de contrat (Akbar frémit) et lui propose d’appeler son robot téléphonique intelligent. Mais son intelligence doit être limitée, puisqu’il finit par dire qu’il ne comprend pas ce dont Akbar a besoin…

Chez Haches Baissées

En désespoir de cause (non, Akbar n’est jamais désespéré), il ne lui reste plus qu’à se retourner vers son conseiller chez Haches Baissées, celui qui lui avait demandé de se connecter chez Admirali. Celui-ci contacte Admirali, qui envoie finalement à Akbar un mail, complété par une lettre recommandée avec accusée de réception lui fournissant le moyen de se connecter à son compte.

Conclusion (toute temporaire)

Akbar se dit qu’il devrait sans doute faire comme Alécaki. Et puis, malèche !

Panait Istrati : Les récits d’Adrien Zograffi, t. IV, p. 57. Bibebook, 1926. Cliquer pour agrandir.

Jeff et Akbar sont les personnages d’une série de bandes dessinées de Matt Groening, qui est aussi le père de la fameuse – et infâme – famille Simpson.

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